Culture basque : transmission à repenser
Dominika Recalt ne conçoit pas qu’il puisse exister des cours de danse pour les enfants. Si l’enfant aime la danse, il doit la vivre, si possible en famille, ou avec des amis, mais pas l’apprendre dans des cours où il va s’ennuyer. Et si la danse l’intéresse vraiment, il ira plus tard approfondir la danse classique, jazz ou contemporaine. L’enfant doit prendre du plaisir à danser. Il prend l’exemple de Maddi Oihenart qui a d’abord appris à chanter en écoutant les autres et qui, plus tard, quand elle a découvert qu’elle aimait profondément le chant, a entrepris de le travailler à sa manière. Il cite également la famille de Michel Etchecopar : si sa fille Maika chante, et si son fils joue du trombone, ce n’est pas parce qu’ils ont pris des cours, mais parce qu’ils ont vécu la musique à la maison. "Il faut d’abord injecter le vaccin, par le vécu", estime Dominika Recalt.
Témoin(s) : Dominika Recalt "Titika"
Fonds d'archives : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Collection(s) : Danse basque
Collections de témoignage(s):
Collecteur(s) : Terexa Lekumberri
Date : 16-04-2014
Durée : 0:03:07
Référence : 204-16
Code du Pôle d'Archives de Bayonne et du Pays Basque : 19AV1349
Lien externe : http://earchives.le64.fr/ead.html?id=FRAD064_IR0643&c=FRAD064_IR0643_de-1351
Thème(s) : Culture, Danse, Chant et musique
Droits et conditions de reproduction
© Département des Pyrénées-Atlantiques – Archives départementales
Le témoignage est consultable dans son intégralité à l'Institut culturel basque (sur rendez-vous).
Il l'est aussi dans les salles de recherches des Archives départementales à Bayonne et à Pau (là encore sur rendez-vous).
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